Nature morte, nature vivante, muse

Petite, la nature me semblait un paradis lointain, le parc en face de chez moi, un oasis.  Les vacances estivales m’enivraient avec le plaisir de quitter la ville pour me retrouver au bord de la mer où tout était d’une beauté et d’une simplicité rassurante.

La nature m’a toujours réconfortée.  Je ne m’y sens plus seule.  Sa beauté me remplit d’espoir.  Sa présence me soutient. J’y voie force et fragilité à la fois.  J’en suis souvent émue. De par sa présence rassurante, elle m’aide à m’exprimer de façon authentique.  Je m’y retrouve et me reconnais en cette beauté, cette force et cette fragilité qui nous font miroir. Entourée d’elle, rassurée que je fais partie d’un tout en sa présence, je pose mon objectif afin de capter notre interconnectivité.